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 :: Stockholm :: Bar
Excursion dangereuse.
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Alia Wolf
Alia Wolf
Jeu 23 Oct - 20:46
Bon, le milieu sauvage qui entourait la ville m'était à peu près familier maintenant. La partie que je redoutais le plus de la visite s'avérait débuté ce jour là. La ville de Stockholm. Ça pourrait paraître banal, la visite d'une ville, mais pas celle là. Je savais trop bien qu'elle était la résidence d'une grande partie des sbires des dieux ou autrement dit, les ennemis directes des créannes, race dont je fais évidemment parti. Oui, vous devez penser que je suis suicidaire de venir ici, mais je n'ai pas envie de m'expliquer maintenant.

Bref.
Il fallait donc que je découvre mon nouveau lieu de vie, et c'est avec une certaine appréhension que je m'avançais sous ma forme d'humaine dans les rues de cette ville. Car oui, en plus de devoir me faire plus discrète que jamais, j'avais aussi due prendre ma forme humaine. Question pratique, voyez vous, se balader en loup dans une ville, même avec la plus grande discrétion au monde, se finit souvent très mal, j'en avais évidement déjà fait l'expérience autre part, et je peux vous dire que ce n'était pas pour moi que ça avait mal tourné. Enfin passons.
Par respect pour ces humains délicats qui font dans leurs culottes en apercevant un animal sauvage, j'avais revêtu ma forme de femme. Bon, il ne faut pas trop m'en demander non plus, ma tenue vestimentaire restait l'une de celle que j'affectionnais tant, ensemble de cuir foncés et de tissus rouges qui me permettaient de me mouvoir comme bon me semble, bien que certaines parties de mon corps soient dénudées. Oui même en plein automne je ne me couvrais pas plus, ayant grandis dans un nord plus que glacial ce genre de température me paraissaient douces.

Je commençais donc ma visite en me faufilant dans l'ombre. Après quelques détours je tombais sur un bâtiment intéressant et plutôt accueillant.
Un établissement publique certainement car je voyais beaucoup de personnes entrer et sortir tandis qu'un brouhaha s'en échappait. Intriguée, je continuai donc mon enquête.
D'abord je contournai le bâtiment, me faisant le plus discrète possible, il faut dire que si je ne faisais pas suffisamment attention mes vêtements assez atypique attireraient un peu trop l'attention. Vivre dans la peau d'un prédateur la plupart du temps aide toujours pour la discrétion et même en tant qu'humaine je gardais cette habitude d'être invisible.
Après m'être glisser à l'angle du bâtiment qui donnait sur une ruelle sombre peu fréquentée, j'humai l'air, vieille habitude de louve, et une odeur faible d'alcool et autres senteurs typiques provenant d'un bar m'assaillirent les narines. Enfin pour un humain normal l'odeur n'était certainement pas faible, mais pour moi qui était habituée à avoir un flair puissant chaque odeurs que je captais à ce moment là me semblaient atténués. Quel calamité cet odorat humain. En bref, je pus en déduire qu'il s'agissait ici d'un établissement alcoolisé, certainement un restaurant, un bistrot ou autre chose dans le genre, je ne comptais pas m'attarder pour préciser la chose, bien que l'alcool fut l'une des plus agréables denrée qu'il puisse exister. Quoi vous pensez que j'exagère ? Voyons c'est que vous n'y avez pas goûté, ou alors que vous n'avez pas de goûts. Je notai donc l'emplacement du lieu, pour mes prochaines sorties, et m'empressai de continué vers d'autres découvertes.

Mais en me retournant pour poursuivre je me cognai à quelque chose, pas trop dur sans être mou, je titubai en arrière, me frottant le nez. Finalement je relevai les yeux vers le jeune homme que j'avais percuté.
Comment avais-je pu être aussi maladroite !? J'avais été distraite par l'odeur d'alcool et ne l'avais même pas repéré, je retins un grognement, une autre habitude animale, et dus faire un maximum d'effort pour ne pas m'enfuir. Je m'étais mise dans le pétrin mais je pensais pouvoir m'en sortir en restant civilisé.

Rapidement les raisons pour lesquelles je ne l'avais pas senti approché m'apparurent comme des évidences. Déjà, il n'avait pas cette aura écrasante que je pouvais ressentir avec la plupart des gens que je croisais dans cette ville, et moi même n'avait pas mes capacités habituelles en ma possession, décidément être une louve avait bien des avantages.

Mais lui n'était pas mon ennemi, il ne devait même pas se douter que je n'étais pas une humaine. Donc, j'avais pas mal de chose à gagner à jouer la demoiselle, surtout qu'il n'était pas si mal ce gars.
Je passais une main dans mes cheveux en prenant un air un peu gêné.

- Excusez moi, je ne faisais pas suffisamment attention on dirait.

Après tout, ça faisait bien longtemps que je ne mettais pas amusée avec un humain et même si j'étais dans la pire ville pour une créature dans mon genre, rien ne m'empêchais de profiter un peu. Il fallait juste que je prennes un minimum de précaution en plus.

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Nathan Moonlight
Nathan Moonlight

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Dim 26 Oct - 2:20
J'étais en route vers le bar pour mon rendez-vous, lorsque je me remis à repenser ce qui c'était passé tôt ce matin.

J'étais encore dans mon lit, à fixer le plafond, me remémorant la mauvaise nuit que j'avais eu à cause d'un cauchemar, qui me forçait à me demander intérieurement, "Ai-je toujours envie d'ignorer comment ma mère est morte ?", ce rêve n'était pas si traumatisant que ça, puisque toujours que je voyais était mon père, installé sur son fauteuil en cuir favori, à pleuré et marmonnant des injures haineuses inaudible, même si soudainement ses larmes commencèrent à avoir la couleur rouge foncé, avant que le corps de mon père ne finisse par se transformer en amas de flaque rouge, dégoulinant le long du fauteuil, l'homme qu'il était, avait disparu, pour laisser la "Mort" prendre sa place, enfin, quelque chose dans ce genre la, ce fut horrible d'avoir l'impression de rester bloqué dans ce rêve, à écouté le bruit des goutes de sang s’éclater sur le sol... C'en était trop, je ne pris pas une minute de plus pour me lever de mon lit et aller prendre une douche froide, ce rêve était sûrement un signe mais, je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus.

Une fois la douche terminé, ou j'ai pu savourer l'eau glissé le long de mon corps, qui me donnait vaguement l'impression de recevoir des caresses revigorante, je m'habilla et m'installa à mon bureau pour éplucher le dossier de l'affaire sur laquelle j'enquêtais actuellement, un meurtre, pas très original me direz-vous, pourtant celui-ci avait quelque chose de spécial car, d'après le médecin légiste, les blessures qu'on pouvait observer sur la victime, ressemblaient beaucoup à des griffures animal même si on pouvait constater, des coups de couteau ... C'était spécial comme je l'ai dis, on a retrouvé l'arme blanche qui se trouvait dans la cuisine, baignant du sang de la victime, vu que l'arme était un cran d'arrêt et qu'il devait forcément être acheté .. Enfin bref, c'est à ce moment la, que, je pris ma veste pour sortir de chez moi, j'avais rendez-vous avec mon informateur, afin d'en savoir plus sur ce cran d'arrêt.

La légère vibration suivante de la courte sonnerie de mon téléphone me fit sortir des mes souvenirs matinaux, je sorti l'objet de ma poche pour l'ouvrir, pour finalement pousser un soupire agacé en lisant le message.

" Désolé, je ne pourrais pas venir à notre rendez-vous, affaire urgente, tu me connais bien à force. "

Pour être franc, c'était une fripouille qui était, un ancien ami d'enfance, je ne voulais pas l'envoyer en prison, il avait fait son choix dans sa vie, j'avais fais le mien, cependant, de temps en temps à autre, on se rendait un service mutuel, des informations pour moi et pour lui ... Eh bien... C'est compliqué à expliquer, disons que je l'aide à passer incognito malgré tout, cela m'avait beaucoup aidé à me faire un petit nom dans le commissariat où je travaillais, après tout, la fin justifie les moyens tant que justice est faite ! Cependant, je n'allais pas trainé plus longtemps devant se bar, ma journée était "fini" je n'avais rien d'autre à faire ... A part attendre demain pour ravoir mon rendez-vous avec mon "ami."

Je commençais à marcher vers une ruelle un peu sombre qui allait me servir de raccourci pour rentrer chez moi, quand je sentis mon chemin se "bloqué", je fis un léger pas en arrière, c'était comme ci un mur invisible était devant moi, avant de constater qu'il y avait bien quelqu'un devant moi, une jeune femme, qui commença à lentement articuler des excuses l'air gêné, je pris un long moment avant de lui répondre car, je me mis à la scruter de haut en bas, détaillant autant ses formes que son accoutrement hors du commun, quoi que qualifiable par le mot "provocant" ou sexy, cependant, je suis et j'étais sûr qu'il n'y avait personne dans cette ruelle quand je suis entré... A croire qu'elle était apparu comme par magie devant moi, je secoua la tête, sans trop me soucier de ça, venant, enfin, articuler une réponse légèrement froide, tout en croisant les bras.


« Tss... La prochaine fois, garder vos yeux en face de vous, ça vous évitera beaucoup de problème de ce genre. »

Je passa à ce moment précis, la main dans mes cheveux, en poussant un autre soupire, est-ce qu'elle méritait vraiment que je relâche toute ma frustration sur elle ? Elle n'avait rien fait de mal et j'allais m'en pendre à elle, ma mère n'aurait pas été fier de moi, je ne lui laissa pas le temps de répondre, pour laisser les bonnes manières que ma défunte mère m'avait enseigné pendre le dessus.
J'attrape sa main avec délicatesse, quoi qu'un peu rapidement, pour la porté à mes lèvres, laissant un court baiser se poser dessus, peut-importe si c'était une femme de joie ou, quelqu'un qui aimait s'habiller d'une façon excentrique, cette personne était humaine et elle méritait le respect.


« Je vous prie de m'excusez, je me suis emporté, c'est moi qui suit le seul fautif de ce malencontreux choc, me permettez-vous de me faire pardonner, de la façon qui vous fera le plus plaisir ? » Dis-je avec beaucoup de respect et une certaine douceur.

Ce qui était un peu légèrement contradictoire avec mon visage inexpressif et mon caractère.


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Alia Wolf
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Dim 26 Oct - 12:17
L'humain ne sembla pas vraiment me remarquer au début, il recula et finit par croiser mon regard, quelle couleur étrange avaient ses yeux, étrange mais vraiment envoûtante. Enfin, après autant d'hiver d'existence il en fallait plus pour me déstabiliser. Il me dévisagea tout d'abord, puis m'examina de la tête aux pieds. Eh bien il ne faut pas se gêner ! Quel genre de personne était-il celui là ? Pas un sourire, rien. Il se contentait de me regarder comme un vulgaire morceau de viande qu'il fallait étiqueter.
Et finalement après avoir légèrement secoué sa tête il me fit le plaisir de m'adresser la parole, trop d'honneur. Je me retenais d'aller jeter un coup d’œil dans son esprit. et puis je ne l'aurais certainement pas avoué mais je n'étais même pas sûre que ce pouvoir que je n'avais jamais entretenu me le permette.
Il croisa les bras devant son torse et prit un ton froid.

- Tss... La prochaine fois, garder vos yeux en face de vous, ça vous évitera beaucoup de problème de ce genre.

Alors là, j'étais sous le choc. Comment un homme pouvait-il oser s'adresser ainsi à ma forme humaine ! Il s'était montré odieux ! Jamais un véritable homme galant et tout ce qu'il y a de bien n'aurait osé s'adresser à une jeune femme ainsi, surtout à l'époque où je suis venue au monde. Une belle époque, les bonnes manières comme les bonnes choses se perdent.
De nouveau mes instincts sauvages me dictaient de grogner et de le mordre... mais en plus d'être totalement ridicule ce serait inefficace, les humains n'ont pas les crocs très acérés et il ne saignerait certainement pas. Je me retins donc.
J'avais aussi eu envie de me transformer en louve et de l'attaquer mais dans une ville telle que Stockholm je risquais trop gros.
Je décidai donc de faire comme si de rien été, tandis qu'il passait une main dans ses cheveux en soupirant. Après un instant où je le foudroyais du regard, il se saisit de ma main avec une délicatesse surprenante et y pressant rapidement ses lèvres. Pour un retournement de situation c'état assez frustrant.
Maintenant cet homme m'intriguait. Génial.

- Je vous prie de m'excusez, je me suis emporté, c'est moi qui suit le seul fautif de ce malencontreux choc, me permettez-vous de me faire pardonner, de la façon qui vous fera le plus plaisir ?

Plutôt bien rattraper, mais la mauvaise impression était persistante. Allais-je lui laisser une seconde chance ? Et bien, cet humain banal vivant dans une ville loin de l'être m'intriguait, alors oui. Et puis il me laissait choisir de quelle façon il allait se racheter, ce qui était une douce manière de me pousser au vice.
J'aurais pue répondre "en nature" ce qui aurait accéléré les choses, mais j'avais toujours trouvé ça vulgaire et déplacé. Sans oublier que le jeu de séduction était trop intéressant pour être passer de la sorte.
En plus de ça je n'aurais même pas pus étudier cette génération d'humain.

Mais quelle activité me permettrait de le retenir auprès de moi assez longtemps ?
Je savais évidemment, et puis ça me faciliterait la tache, mais pouvais-je réellement réclamer ça à un homme tel que lui ? Il me semblait bien froid malgré le ton doux qu'il avait employé à l'instant.
Enfin tant pis, de toute façon je ne le reverrais certainement jamais et même s'il se montrait aussi odieux tout le long ce serait vite fini. La ville n'était pas si grande non ?

- Ne vous en faites pas, c'est autant ma faute que la votre, je n'ai pas suffisamment fait attention semble-t-il. Ma manière de m'exprimer était certainement un peu trop respectueuse et poli pour l'époque mais j'avais appris à parler comme ça.

Je lui adressai un grand sourire, essayant de me montrer sympathique au possible, qui sait peut être que lui aussi allait le devenir à force ?

- Mais je suis nouvelle dans la région et je pense que j'ai besoin d'aide pour me retrouver dans cette ville. Accepteriez vous de me faire la visite Stockholm ?

Ce ne serait certainement pas très discret de me balader au bras d'un homme au milieux de tous ces sbires de dieux. Surtout comme j'étais habillée à ce moment là et avec les deux dagues qui se croisaient dans mon dos. Mais que voulez vous, mieux valait-il que je me batte plutôt que de me perdre dans ces ruelles.

- J'ai aussi remarqué que mon accoutrement ne passait pas vraiment inaperçu dans cette ville, auriez vous l'amabilité de me prêter votre manteau ?

Peut être poussais-je un peu loin, mais pour lui aussi ce serait plus agréable de se balader avec une femme vêtue normalement, car mon pantalon moulant en cuir marron pourrait encore passer inaperçu, bien qu'il soit très ancien et dans un style vraiment spécial. Et évidemment je ne parlerais pas de mes pieds nus.

Steek
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Lewis Steek
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Mar 28 Oct - 17:50
/!\ Halloween
Ce texte n'est pas à comprendre dans l'histoire



Vous savez, parmi la courte liste des choses que j'apprécie, il y en a une que je tiens en haute estime. Celle de m'informer quand on a une idée de merde. A défaut de la faire, au moins je préfère être au courant. Quelque part ça doit être pour ça que je déteste autant Renzo. Lui et ses idées imprévisiblement agaçantes. Ça doit aussi être pour ça que je déteste les Dieux. Parce qu'il faut avouer que les idées brillantes ça leur arrive pas souvent non plus. Presque jamais en fait.
Par exemple là, à ce moment précis, je ne sais pas quel divinité je dois maudire pour l'idée absolument génialement stupide. Un qui aime s'amuser. Ça m'avance pas trop... Un qui a des goûts de chiotte. De même, ça ne réduit pas le champs des possibilités... Un être niais aussi. Pas inventif le moins du monde mais qui se croit malin, pathétiquement irresponsable et qui attache de l'importance à n'importe quel événement pour s'éclater. Je ne vise personne... Mais avouer que ce genre d'idées ça va bien à Enlil.
Bref, là je crois que j'ai un plus gros problème sur la planche. Ou plutôt sous les sabots. Je soupire et ce petit souffle se transforme en hennissement ridicule. Désespéré, je penche la tête et c'est mon miroir qui se retrouve en morceaux. Ha ouais, j'avais oublié « ça »... Mes muscles tremblent. Je vais vraiment finir par péter un câble.
Qui est ce que je dois tuer, sérieusement ? Déjà que j'aime pas les fêtes, parlons même pas d'Halloween (des gosses qui se croient terrifiants alors qu'ils sont juste trop coincés pour demander des bonbons à la voisine le reste de l'année ? Faites moi pas rire !) alors en plus, quand les pouvoirs ancestraux s'en mêlent sans me mettre au courant...
Une dernière (et quatre cent millième) fois, je fais le descriptif de ce qu'on pourrait appeler... « ma tête ». Ou « truc répugnant de niaiserie » au choix. Mes si beaux cheveux sont devenus roses (tuez moi), ma peau un pelage blanc presque fluorescent, mes oreilles ont été échangées contre celles d'un renard et je me tape une excroissance de forme phallique et pointue sur le devant du crâne. J'ai les quatre membres moteurs qui touchent le sol, des sabots polis comme  la fête de l'agriculture et un potentiel musculaire assez gros pour ne pas pouvoir franchir la porte de la salle de bain dans l'autre sens, c'est à dire le sens de la sortie. Alors oui, si j'avais pu, j'aurai massacré la licorne qui venait de squatter ma salle de bain. Seul problème : LA LICORNE C'EST MOI.
Je vous avais dit que c'était foireux, toujours.
Je dois avouer que ma plus grande crainte actuellement, c'est de croiser cet enfoiré de zombie à problèmes et qu'il me rappelle comment j'ai fait massacrer les licornes qui avaient débarqué dans la Congrégation il y a pas de ça deux mois, parce qu'à part un « hiiiiiiiiii » strident avec les dents en avant, je vois mal ce que je pourrais lui répondre de plus crédible et de plus classe.
J'essaye de grogner sans effet quand je vois mon miroir brisé au sol (je suis pas superstitieux mais j'ai au moins compris que si je baisse la tête, cette foutue corne me rappelle sa présence désastreuse) et tente de bouger, de me retourner ou de sortir en marche arrière de cette foutue salle de bain. Je vous épargne toutes mes tentatives et le nombre d'objets qui finiront à la poubelle après ça (c'était pas solide c'est tout), je ne vous narre pas non plus le moment où j'ai découvert que la corne ne servait pas seulement de cure-dents mais aussi de baguette magique lanceuse de jus de fruits rose pétant ou d'arcs en ciel (et où j'ai vraiment failli vomir, ce qui est très bizarre quand on est un cheval).
Avec la mauvaise foi, je vous dirai que ça m'a pas pris trop de temps, que j'ai géré... Ouais et sans ça donne que j'ai quand même mis presque trois heures pour sortir. J'ai passé le reste du temps à bouder sur mon pouff (anciennement mon lit, que j'ai cassé en m'allongeant dessus. Mine de rien c'est lourd une licorne).
https://leschroniquesdesumer.forumactif.org

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Nathan Moonlight
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Ven 30 Jan - 2:00
Je n'aurais peut-être jamais du réagir aussi excessivement aux premiers abords mais, j'ai une fâcheuse tendance à me laisser emporter trop rapidement lorsque tout ne se déroule pas comme je le souhaite, je crois que je suis trop capricieuse quand il s'agit du travail, ma mère m'aurait conseiller de pendre une petite pause, de dégager mon stress et mon père m'aurait dit tout le contraire tout en m'insulte de mauviette ... Malgré tout, je l'aime mon père.
Cependant, cette pauvre inconnue ne méritait pas que je dégage tout mon stress sur elle, surtout si c'est de la colère, autant le faire d'une autre façon plus... Agréable même si, c'est surtout un jeu dans lequel on ne peut pas prévoir le gagnant mais, seulement jusqu'à ou, on ira avant de cesser ce jeu prenant. Le pire, c'est que j'avais commencer le jeu ..

Car, effectivement, à force de la fixer, après mon baise-main, j'eus l'impression qu'une pensée anodine et déplacée avait frôlée l'esprit de la brunette, peut-importe ce que cela pouvait être, c'était intriguant de ne pouvoir mettre le doigt dessus tout de suite, et ma soif de curiosité aurait largement pu me pousser à un vilain petit vice... Vaut mieux, ne pas élargir mon agréable imagination plus qu'elle ne l'est déjà stimulé.
Les plusieurs réponses qu'elle m'adressa furent, longues et concrètes même si j'eus l'impression d'avoir attendu longtemps pour l'entendre me parler de nouveau ... Pourtant, à peine 2 minutes maximum devait être écoulée, de plus elle ne demanda pas quelque chose de trop affriolant, ni trop poussé, c'était plus une demande cliché, tout droit sorti d'une série à l'eau de rose ou d'un film de mauvaise qualité... Chacun ses gouts après tout. Je ne fus même pas perturbé par sa manière de parler, je trouvais cela normal probablement, je n'ai qu'un vague souvenir de mon opinion à ce moment là.

Après l'avoir écoutée, je libéra mes lèvres ainsi que ma main de la sienne, avec la même délicatesse dont j'avais fais preuve, tout en laissant glisser mon manteau le long de mes épaules afin de recouvrir cette demoiselle au allures "fantastiques" de se couvrir face au regard pervers et dévoreur des passants même, si il n'y avait clairement personne dans cette ruelle mais, j'avoue, que je ne m'étais pas gêné de la reluquer de haut en bas, c'était plus fort que moi, qui n'oserait pas en même temps...
Je me mis à ses côtés, tout en prenant le temps de rassembler ma matière grise et, en prenant soin d'offrir mon coude à celle-ci.


« Je ferais de mon mieux pour rendre votre visite la plus agréable possible, Milady. Puis-je vous offrir mon bras ? » Dis-je d'une voix comparable à une brise légère.

Je n'avais pas beaucoup de choix, moi même j'étais aussi nouveau qu'elle dans la ville même si, je pense et que je crois toujours connaître cette ville comme ma poche ! J'entamais une marche lente, tout la rapprochant furtivement de moi, les couples sont moins souvent tape à l'oeil, puis, ça permettait de mieux s'entendre malgré les bruits divers que la ville nous offrait.


« Loin de la, de paraître impoli et de vous froissez mais, que faisiez vous ici, dans cette endroit peu fréquentable ? Puis-je en même temps savoir, votre prénom, Milady ? » Je m'exprimais toujours de la même façon, sans lui offrir le moindre regard, j'étais plutôt penser à ce que j'allais nous faire faire.




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