LYNN HIEMS
(je tiens juste à préciser que la présentation qui suit est à la première personne, c'est Lynn qui parle... sauf pour le caractère pour garder un minimum d'objectivité x) )
Identité
Age: 18 ans
Nationalité: Anglaise my dear.
Classe: Médium
Dieu: Enlil
Pouvoir: //
Description Physique
Je suis la plus jolie voyons. ADMIREZ-MOI.
Bon. Plus sérieusement –quoi ? Du sérieux ? Qu’est-ce ?-. J’ai de longs cheveux blancs. Ouais, blancs, à dix-huit ans. Ça te pose un problème ? Moi j’ai la classe, héhé. En plus, mon nom de famille, « hiems », ça veut dire « hiver » en latin. Eh oui, je suis cultivée, messieurs-dames, et puis j’ai un nom qui claque aussi. Bref, ils m’arrivent à peu près au niveau de la ceinture. J’ai mis des années avant qu’ils n’aient cette longueur, alors tu les touches et je te pends par les pieds sous un pont. Compris ? Bien, continuons.
J’ai des yeux vairons. Ouais, c’est plutôt rare. Comme moi. Admire-moi. Mon œil droit est bleu de glace et l’autre est vert pomme. J’aime bien les pommes. Surtout quand elles « croquent » -si je puis dire- sous la dent, tels tes os lorsque je te frappe lorsque tu me critiques. Mes cils sont longs et blancs, comme mes cheveux. Un peu comme les personnes albinos, sauf que je ne suis pas albinos.
Je suis assez petite, de taille. Il fallait bien que j’aie un défaut quelque part, après tout… Les gens croient que j’ai quinze ans des fois. Non mais, ils ne m’ont pas bien regardée… bon, ne parlons plus de ça, sinon je risque de m’emporter. Et quand les gens énervent ma vénérable personne, des os craquent telles les pommes. Tient, d’ailleurs, je te conseille de faire attention quand je parle de pomme.
Bon, ce n’est pas le sujet. Généralement je porte des vêtements clairs. Cela me rend lumineuse, personne ne peut m’ignorer, ahah ! Actuellement, là tout de suite je porte un gros pull gris, et un short blanc. OK ça va, c’est parce que je vais aller prendre ma douche, pas la peine de sortir une robe de bal hein.
Description Morale
JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE JE SUIS GENIALE.
Voilà, ma géniale personne résumée en deux-cents mots. Oh, attendez, mon bain a fini de couler. A MOI LES BULLES !
* * * *
Comme vous l’aurez remarqué, Lynn s’aime beaucoup. Ne cherchez pas d’explication psychologique ou une histoire comme quoi ce serait dû à un manque d’affection ou au contraire un trop-plein d’affection de ses parents : elle s’aime beaucoup, c’est tout.
En fait, on ne dirait pas comme ça, mais Lynn possède deux traits de caractère principaux –bien que le trait « je m’aime, je suis géniale » soit présent dans les deux cas. La plupart du temps elle est assez gamine et aime faire l’enfant. Il lui arrive souvent d’aller jouer dans des parcs ou dans les aires de jeux des restaurants –et après elle s’étonne qu’on la considère comme une fille plus jeune qu’elle ne l’est…-. Il lui arrive parfois de sautiller lorsqu’elle marche dans la rue, ou encore de sauter par-dessus des obstacles imaginaires.
Sinon, lorsqu’on l’énerve, elle se transforme en Dark Lynn, ce qui est assez flippant. Physiquement, ses yeux s’assombrissent –enfin c’est un effet d’optique, disons plutôt que ses pupilles se dilatent-, et certaines personnes jureraient que ses cheveux se hérissent, comme les chats. Elle aime bien coincer les bras des gens dans leur dos, histoire de leur faire bien mal. Lorsqu’elle tire trop fort sur ceux-ci, on entend le fameux « crac », le gémissement de leur épaule (ou bien du coude, ça dépend de comment elle tire) qu’elle compare souvent aux pommes qu’elle mange. Elle est assez obsédée par les pommes et les glaçons, d’ailleurs. Probablement y a-t-il un rapport avec la couleur de ses yeux qu’elle aime tant…
Histoire
[La première partie de son histoire ne sera pas racontée par Lynn elle-même, pour la simple et bonne raison qu’elle ne s’en souvient pas, elle le dit elle-même.
Elle est née dans une petite ville d’Angleterre, tout ce qu’il y a de plus banal. Ses parents sont des humains ordinaires, donc elle aussi. Cependant, elle est devenue médium assez jeune, voire trop jeune. Vers ses quatre ans, elle a été la victime d’une créanne. Le problème est que son esprit trop jeune n’a pas beaucoup aimé l’expérience, du coup elle a un trou noir d’une partie de son enfance.]
Bon, je vais vous raconter mon histoire et comment j’en suis arrivée là, pendant que je sèche ma magnifique chevelure.
Je ne souviens de rien datant d’avant mes quatre ans. Rien, le néant, nothing. Mes parents se sont beaucoup inquiétés de mon amnésie soudaine, et n’ont jamais compris ce qui m’était arrivé, et je ne le sais pas moi-même.
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours vu des trucs bizarres. Ou plutôt, un type de truc bizarre. Souvent des objets apparaissaient près de moi. Au début je trouvais ça normal, je pensais que tout le monde les voyaient. Mais vers mes six ans, mes parents ne m’ont pas crue lorsque j’ai dit que c’était à cause d’un tuyau de plomberie tombé du ciel que j’avais cet œil au beurre noir –quoi, oser abîmer mes jolis yeux !-. Alors ils m’ont emmenée voir un psy’. J’y ai dessiné des soleils et des pommes, c’était cool. Mais toujours est-il que des objets me tombaient toujours sur le coin du nez. Un an plus tard, alors que je marchais dans la rue avec mes parents, c’est une boîte de crayons de couleur qui m’est tombée dessus. Je me suis dit que c’était l’occasion ou jamais… je l’ai prise, et je l’ai montrée à mes parents. J’ai pris les crayons bleu et vert pour leur montrer. Mais au moment où j’ai levé la main, la boîte et les crayons avait disparu. J’ai pété un câble, mon père a été obligé de me porter et ma mère de me tenir les mains pour que j’arrête de me griffer le visage.
J’ai laissé tomber, j’ai arrêté d’en parler. Les objets disparaissaient tous une fois qu’ils étaient entrés en contact avec moi. J’avais juste le temps de voir ce que c’était. J’ai appris à les éviter. Avec le temps j’ai compris qu’il y avait toujours une bourrasque de vent avant qu’un objet me tombe dessus ou vienne me faire trébucher. Au début, ça m’énervait vraiment. Quoique ça m’énerve toujours. Des fois je pétais les plombs et je devenais limite hystérique. Bref.
Un beau jour, mes parents m’ont annoncé qu’on allait passer nos vacances à Stockholm, en Suède. EN SUEDE. Je ne savais pas ce qu’il y avait de bien à voir à Stockholm, et j’étais déjà contente de savoir dans quel pays ça se trouvait. Je suis cultivée, mais il y a des choses qu’on oublie ! Non mais, on aurait pu aller à New York ou à Paris, non, on est allé en Suède !
Bon. Un jour où on n’avait rien prévu, je suis allée dans un parc à côté de l’hôtel. Je ne m’attendais pas à ce que les objets surgissent à Stockholm, je pensais être tranquille au moins là. Mais non. Et j’avais baissé ma vigilance. Donc, dans ce parc, à un moment, quelqu’un m’a crié :
— Attention !
Et on m’avait poussée et j’avais fini par terre. Un garçon était aussi tombé, et était assis à côté de moi. A mes pieds, gisait un…fer à repasser. Ce dernier resta quelques secondes supplémentaires, et disparut. Tient, on m’envoyait rarement des objets aussi lourds.
— Un fer à repasser, hein... il s'amuse bien dis-donc, marmonna le garçon.
Puis, à ce moment-là, je tiltai. Le garçon qui m’avait poussée pour pas que je finisse dans les vapes –ou avec une affreuse bosse qui aurait défiguré mon sublime visage- avait eu le temps de voir l’objet. D’habitude j’étais seule à le pouvoir.
— Tu l'as vu ? avais-je dis d’une voix aigüe.
Il n’avait rien dit. Il s’était juste relevé et m’avait tendu la main pour m’aider. Une fois que je fus debout, il partit en courant. Bon sang, l’impoli ! Même pas il ne m’a dit son nom. Pour une fois que j’avais l’intention d’être gentille avec un inconnu…
Puis là, je me rendis compte qu’il avait laissé un papier par terre. Curieuse, je le pris et le dépliai. Dessus, il y avait juste une adresse, avec écrit, en caractères imprimés : « La Congrégation t’attend. »
Le lendemain, je m’étais rendue à ladite adresse. Là-bas, les gens étaient manifestement contents de m’accueillir, alors qu’on ne se connaissait pas. Ils me racontèrent tout un tas de trucs sur des dieux et des pouvoirs magiques, et puis des médiums ou quelque chose comme ça. D’après eux, les objets étaient juste un moyen pour l’un des dieux de s’amuser avec moi. Je ne savais pas que j’étais si drôle. En même temps, je suis parfaite, ahah !
Bref. Ils insistèrent pour que je reste, pour que je sois prête et qu’ils puissent m’aider si mon « dieu m’appelait ». Je décidai de rester, après tout j’étais assez grande. Je suis sortie du bâtiment pour en parler avec mes parents. A peine j’eus posé le pied dehors, que je levai la tête vers le ciel en disant :
— Dieu des fers à repasser, j’arrive.
Vous
Qui êtes-vous?: MOI
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