Age: 25ans
Nationalité: Américaine
Classe: Humaine
Dieu:
Pouvoir: Rien

   

   




(150 mots minimum) Anarchy...Se voit de loin. C'est pas possible que vous ne l'ayez pas vu. On aurait pu dire qu'elle est mignonne d'apparence, mais même ça c'est impossible. Il faut vraiment l'aimer pour vouloir l'approcher. Son visage montre à quel point elle est dangereuse. Ses yeux ont des couleurs puissantes, imprégnés de toutes les choses horribles qu'elle a vu ou fait. Ses lèvres sont fines pour cacher des dents qui ressemblent plus à des crocs et qui, lorsqu'elle sourit, vous donne l'impression de vouloir vous mordre. Ses cheveux sont tirés en arrière pour former des grandes queues de cheval. Ils forment aussi une mèche qui part devant son œil droit. Comme ses fins sourcils aux pointes acérées, ils sont d'un bleu bien tenu. Sa peau blanche se disperse sur une petite taille d'un mètre soixante cinq. La jeune femme ne pèse pas plus de soixante huit kilo. Elle est fine et ne compte pas prendre du poids. Son épaule droite est marqué de tatouages bleus représentant des nuages. Mais même si elle a de petits bras, de petites jambes et une petite poitrine, ne vous fiez pas aux apparences. Elle n'est pas imposante, pas grande, pas musclée, juste dangereuse.

Ses vêtements changent souvent. Il se peut qu'elle choisisse une robe plutôt que sa tenue légère de d'habitude. Mais la plupart du temps, elle aime pouvoir courir. C'est pourquoi, lorsqu'il fait chaud, il n'est pas rare de la voir juste vêtue d'un haut laissant tout son ventre à l'air et d'un mini-short. A cela elle ajoute souvent quelques accessoires comme des ceintures, des bracelets. Mais ce qu'elle aime, c'est ne porter qu'un seul collant au lieu de deux. Elle trouve ça marrant. Ses chaussures noires peuvent écraser une tête facilement. Mais elle n'est pas toujours comme ça. Il n'est pas rare de la voir en jean-chemise. En hiver, elle préfère porter de grosses vestes. Mais quelques soit les habits qu'elle décide de porter, elle garde toujours son collier autour du cou. En plus de sa façon de s'habiller, Anarchy à quelques tics inhabituels. Quand elle s'ennuie, elle à l'habitude de regarder ses ongles noirs. Si elle se met à rire, elle sautille rapidement. Et, même si cela arrive rarement, si elle se sent gênée, elle mettra ses pouces dans son mini-short et se dandinera.

 
 



(200 mots minimum) Anarchy, comme son nom l'indique, est folle. Au premier sens du terme ! Elle fait des choses incompréhensibles de temps en temps. Elle est sûrement l'humaine la plus dangereuse que des parents auraient pu procréer. Son esprit ne va pas super bien, c'est vrai. Elle ne se rappelle plus si c'est de naissance ou à cause d'un accident, mais elle adore ça. Elle sait qu'elle est folle et ne veut absolument rien changer. Sa vie, même si pour quelqu'un de normal semblerait noire et triste, est géniale pour elle. Elle a un petit faible pour la destruction. Si vous voulez lui faire plaisir, c'est ça qu'il faut lui offrir. Elle est émerveillée devant les flammes et presque en crise de joie devant une explosion. Sa réplique fétiche est « Si c'est debout, c'est pour être détruit » et c'est comme ça qu'elle marche. Quelque chose n'existe que pour mourir, c'est comme ça qu'elle pense. Depuis le temps, on aurait dû l'enfermer, mais elle est plutôt maline. Elle ne réfléchit pas assez, c'est vrai, elle est vicieuse cependant et ça lui a sauvé la vie à plusieurs reprises.

Elle semble détester la normalité. C'est assez étrange, mais toutes les filles normales, voir même les bourgeoise, la rende malade. Elle ne les blaire pas. Elle semble intouchable comme ça, mais elle est sensible sur certains sujets. Elle est difficile à cerné, mais une fois cela fait, on sait tout d'elle. Elle s'ouvre facilement sans le vouloir. Pour elle, un secret n’échappe pas à la règle de la mort. Il finit toujours par être révélé. Elle n'est ni digne de confiance, ni gentille, ni généreuse. Mais elle a quelques faiblesses quand même. Anarchy n'arrive à rien avec les enfants. Que ce soit s'occuper d'eux ou leur faire du mal. Elle n'est capable de rien avec eux. C'est le meilleur moyen de la déstabiliser. Malgré sa mentalité totalement décadente, cette jeune folle a un point faible. Elle a horriblement peur des...Roses. Oui, c'est stupide, mais elle n'y peut rien. Une rose est capable de la rendre aussi faible qu'un chaton.

   



(350 mots minimum) "Qu'est-ce que j'ai fais pour en arriver là ? Tu m'expliques ? Bien sûr que non tu peux pas me dire ce que j'ai fais pour devoir sauter d'un avion en plein vol. Mon corps semble si léger tandis que ma folie me fait traverser les nuages qui tentent de stopper ma chute. Ca va être génial quand j'arriverais sur le sol ! Je fais l'étoile de mer, ça me fait marrer ! C'est comme si de la fumée suivait la chute des pointes de mes membres. Je n'ai jamais vécu quelque chose d'aussi amusant ! Je vais pouvoir m'en mettre plein la panse ! Mais comment j'en suis venue à devoir bondir au-dessus d'un bon paquet de kilomètres ? Je vais vous expliquer tout ça depuis le début.

Vous vous dites que mon histoire commence le vingt-cinq avril le jour de ma naissance hein ? Vous vous trompez. A part le fait que je sois une fille adoptée, toute mon enfance est chiante à mourir alors je la passe. Je sens que si je vous la raconte, je vais encore m'endormir dans les airs. La seule chose plus ou moins intéressante pour la suite c'est que j'avais une sœur jumelle, Armony. Elle était beaucoup plus faible et timide que moi. Et j'avais un bien fou à l'embêter. Que ce soit méchant ou pas, ça m'amusait toujours. Mais ce qui m'amusait plus que de martyriser les plus petits que moi, c'était les fêtes. J'adorais ça ! On pouvait boire comme des trous, danser aussi bien qu'on le voulait et on pouvait surtout se faire sauter comme des lapines ! Donc quand j'ai entendu que Jason, l'un de mes coup d'un soir, faisait un énorme partie dans sa villa, je me suis invitée !

Ma sœur et moi étions devant l'entrée. Le grand escalier montait jusqu'à la piscine et semblait infinie, aussi long que la tour de Babel. Mais je comptais bien surmonter cette épreuve et me jeter dans la piscine ! Tandis qu'Armony montait les marches en faisant attention à sa robe, mon collant ne me gêna pas pour courir. Je me ruai donc jusqu'à la maison. D'un bond, je me jetais à l'eau. Rien à battre des autres ! C'était trop cool ! Quand je sortis ma tête de l'eau, ma sœur me demanda de rester présentable. Je l'envoyai chier d'un coup de bras et je fusai à la piste de dance. C'était une soirée génial ! La musique était trop cool et j'ai pu danser comme une petite folle ! Plusieurs garçons ont tentés quelque chose pour m'avoir, mais mon coup de pied sait viser entre les jambes. Je crois que j'en ai castré quelques uns, mais shhh, ça reste entre nous ok ?

Je finis par sortir de la chambre. Il devait être trois heure du mat' et je n'étais habillé que d'une pauvre serviette autour de mon corps. Mes vêtements étaient éparpillés dans tout les coins de la chambre avec d'autres qui ne m'appartenaient pas. Ne vous demandez pas ce qui s'est passé, on le sait tous. Mais la suite est bien plus intéressante. Car, en me baladant dans le salon pour trouver le plus de choses chères que je pourrais voler, l'hôte me surprit à fouiller dans son meuble à bijoux.

"Anarchy, tu es venue"
"Pas pour toi mon chou, juste pour foutre la merde."
"Je le vois bien, mais j'ai un petit problème et je sens que tu pourrais m'aider. Tu gagneras un bon paquet de fric !"

L'argent est encore plus excitant qu'une fête où je n'ai qu'à bouger mes hanches pour me faire des amis, donc j'ai pas hésité une seconde. Et c'est là que c'est devenu marrant."




"La sal..."
"Essaye de m'attraper au lieu de m'insulter mon chou !"

"Je sautai sur les railles. Tout mes poursuivants s'arrêtèrent d'un coup. Je restais sur le chemin de fer, entendant le train arriver. J'en avais absolument rien à faire ! C'était amusant et c'était tout ce qui m'importais. Tandis que je me foutais de leur face, je posai mes fesses sur les planches de bois. Je déposai la boite en carton que je devais ramener à mon "boss" sans regarder ce qu'il y avait dedans. Les pauvres gardes du corps n'osaient pas venir tandis que le transport s'approchait. J'ouvris le paquet. J'en sortis un bon paquet de drogue. J'explosai de rire. Encore ? Le mec en avait pas déjà eu ? Bah, tant pis, cette fois il n'en aura pas. Je me cassai, je laissai le paquet sur place. Il allait être dégommé par le train de toute façon, ce n'était plus mes affaires maintenant. Mais c'était marrant.

Certes, je me suis fais engueulée quand j'étais rentré. Mais vous avez vraiment cru que Anarchy se laissait insulter comme ça ? Le fun était passé, je comptais arrêté plus tôt même. Tout ce temps que j'ai passé à m'ennuyer, c'était seulement parce que j'avais la flemme de me retirer du marché. Mais la droite qu'il se préparait à me mettre me décida à agir. Ma main se referma sur son poing. Mon bras valide vint le retourner. Ma jambe lui fit un croche-patte. Tiré en arrière, je le soulevai dans les airs pour le pousser contre le sol. Ses gardes du corps allaient tirer leurs armes. Mais j'avais déjà sauté du bâtiment en riant aux éclats. Heureusement qu'il y avait une fête pur gamin. Le château gonflable était juste en dessous. Je l'ai crevé. Mais je l'ai pas fais de mon plein gré, pour une fois !

Quand j'y sors, un gamin me regarde les larmes aux yeux. J'en souris. Mais...je ne peux pas m'arrêter là ! Je lui tends une sucette à la fraise que je cachais dans ma poche. Je lui dis que c'est pour me faire pardonner. Mais dès qu'il y touche, je la met dans ma bouche.

"Désolé mon chou, la flemme d'attendre que tu la mange."

Puis je suis repartis avec comme musique de fond ses pleurs et mon rire. Ah punaise, c'était vraiment trop cool. Mais après, ce fut beaucoup moins drôle. J'étais au lycée le jour où ça à mal tourné. J'étais technicien de surface ! T'as vu, la classe hein ! Technicien, moi ? J'étais en train de nettoyer les chiottes quand quatre gros bras m'ont surpris. J'ai essayé de me défendre. Ils m'ont maîtrisé facilement. J'en ai cependant envoyé un sur les roses, j'en suis plutôt fière. Le truc c'est que à trois, ils ont facilement pu m'immobiliser. Et le gros du groupe commençait à balader ses mains sur moi. Baah, j'ai eu une monté dans la gorge. J'aurais bien aimé lui gerber dessus. Mais je n'ai que craché. Il m'a mit une claque. Frapper une femme, c'est dégueulasse !

Punaise, je suis tombé bas ce jour-là. Je n'ai pas pu me défendre tandis que ses gros doigts en forme de saucisses touchaient à mes hanches. Des frissons de dégoûts sont montés le long de mes bras. Ceux-ci ont tentés de se libérer. En vain. Je n'avais pas peur, j'étais dégoûtée. Je ne voulais pas qu'il me touche plus longtemps. Je n'ai même pas pu l'empêcher de retirer mon soutiff. C'était horrible. Chaque fois qu'il bougeait, je le ressentais et mes doigts se crispaient contre les vêtements de mes agresseurs. Ca aurait dû me faire vomir. C'était horrible, même pour moi. Sentir ses mains glisser le long de mon ventre. Dès que je serais libre, il allait souffrir me disais-je. Je ne pouvais pas me laisser faire. Pas comme ça. Je voulais pas finir violée moi ! Mais dès qu'il essaya de faire plus, la porte claqua. Le temps qu'il se retourne, j'ai pu lui coller mes pieds sur le crâne. Puis ils heurtèrent le visage des deux qui me bloquaient. J'attrapai mes vêtements avant de courir dans les couloirs pour les fuir. Je ne suis pas pudique donc les regards ne me gênaient pas. J'avais plutôt envie de décroiser les bras juste pour voir leur nez pisser le sang.

Je sortis d'ici. Manque de bol, deux autres m'attendaient. Je réussis à remettre mon habit en leur échappant. J'avais eu chaud...Trop chaud si vous voyez ce que je veux dire ! Haha !"




"Ah merde...Ca fait mal."
"Je sais ma chérie, mais détends toi, ce sera bientôt fini."

"J'étais seule dans cet avion de merde. Je m'étais fais attrapé au final. Et putain qu'est-ce que ça faisait mal. J'avais du sang plein la bouche, je m'en rappelle. Vous ne voulez pas savoir comment. J'avais réussi à les éloigner de mon corps ces enfoirés. Mais bon, maintenant Jason s'acharnait à me donner des coups de pieds. J'avais envie de lui mettre mon poing sur la...Figure ! Mais je ne pouvais pas. J'étais trop faible. Vous devriez enregistrer ça, c'est la dernière fois que je dirais que je suis faible. Mais c'était vrai. Courir, frapper, se faire frapper, ça épuisait. J'avais plus la force de combattre.

L'avion était partit de jenesaisoù pour s'arrêter jenesaisoù aussi. Ce n'est pas la même ville, attention. Apparemment, c'était pour les vacances du "boss". Il avait décidé de m'emmener avec lui pour continuer de me frapper. Il aimait pas ce que je lui avais fait et la trahison que j'avais commis. Mais j'avais qu'une chose à rétorquer à ça : J'en avais rien à foutre. Je ne donnais pas les bonnes réponses d'après les douleurs qui montaient de mon bide. Mais je ne comptais pas continuer à me faire tabasser. Et s'il pensait qu'il pouvait me garder prisonnières avec une paire de menottes, il se mettait le doigt dans l’œil jusqu'au trognon. Je ne comptais pas rester ici. Alors dès qu'il n'y eut personne dans ma petite cellule, j'entrepris de libérer mes mains. J'ai dû faire saigner mes poignets. Ca faisait un mal de chien. Mais j'ai réussi à me libérer. J'eus horriblement mal quand je me suis levé. Une grande difficulté était là quand j'essayais de me diriger. Je sortis de la soute. J'attrapai un parachute. J'ouvris la porte. L'avion fut dépressurisé. Jason était déjà là.

"Anarchy, fais pas la conne ! Je sais que tu veux pas te suicider pour ça."
"Jason mon chou, je pars jamais sans mon cartable !"

Puis j'ai sauté."




Voilà, vous savez tout ce qui s'est passé jusqu'ici. C'est pour ça qu'on dit que je suis une fille à problème. Mais bon, je compte bien continué. Sauf que cette fois, ce sera moi la prédatrice, pas le contraire. J'vais tout recommencer autre part. Et cette fois, aucune personne n'osera m'approcher tellement je serais dangereuse. C'est finit ces conneries. Je suis Anarchy et je vais prouver que j'ai pas besoin de pouvoir ou de chance pour être la plus forte ! Haha !

 
 
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