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 :: Stockholm :: Centre commercial
Joyeux nöel, humain [Pv Artyom Rijskaya]
Jake
Messages : 207
Localisation : Dans la congrégation. Je n'y bouge presque jamais.
Loisirs : Tricot et Piano. Uniquement.
Humeur : Stoique.
Jake Hills
Jake Hills

Personnage...
Pouvoir: Caméléon
Dieu: Nin Hursag
Age: 31 ans
Dim 21 Déc - 23:04
Les magasins ne désemplissaient pas depuis quelques semaines, les illuminations rouges et vertes scintillaient telles des étoiles artificielles. Le son strident des musiques de Noël vrillait les hauts parleurs. Les passants battaient le pavé de la plus grande avenue commerciale de Stockholm. Certains étaient bien pressés bousculant presque les badauds qui flânaient de ci et là. Jake se tenait au milieu de cette cohue, fixe, déviant de quelques pas pour éviter toutes rencontres, tel un danseur. Complètement invisible aux yeux de tous. Même la fine neige qui tombait semblait avoir oublié de se déposer sur son épais manteau noir. L’émissaire n’était pas ici pour faire ses emplettes. Quoi qu’offrir un marchepied à Lewis lui semblait être une bonne idée. Plusieurs rapports indiquaient la présence d’une créanne, visiblement ancienne. Lors d’une mission de repérage celle ci  aurait prit possession d’un missionnaire pourtant expérimenté. Plusieurs facteurs ont donc conduit Jake à intervenir. Le premier était qu’il ne risquerait pas un autre membre de la congrégation contre celle-ci. Ensuite, la créanne était maligne et ne restait que dans des endroits fréquentés. Lui laissant ainsi tout le loisir de choisir son hôte et limitant le champs d’action des missionnaires. Bref, le conseil ne pouvait plus se permettre de laisser une telle menace agir librement en centre-ville durant la période des fêtes. Jake avait donc prit la décision à l’unanimité en lui et lui même de se charger de ce problème. C’était son cadeau de Noel aux habitants de Stockholm. Parce que vu comment la situation se présentait ça n’allait pas être une mince affaire.

La créature était là, assise sur un banc en face d’un H&M.  Elle possédait les traits d’un vieillard inoffensif, attendant sa fille ou sa femme, avec un sourire tranquille collé au visage. Le président du conseil aurait très bien pu se glisser derrière lui et l’égorger d’un coup sec. Mais des gamins assisterait à la scène et Jake ne tenait pas à traumatiser des gosses. L’autre option était de faire disparaître la créanne  mais il devrait alors la toucher avant de l’égorger, lui laissant la possibilité de répliquer, s’il elle était réactive. Les probabilités étaient mauvaises. Et puis rendre invisible comme ça un vieillard, c’était un coup à créer des médiums. Et il en avait par dessus la jambe que des simples humains soient mêlés à leurs sordides affaires. La dernière solution était donc de l'entraîner dans la petite ruelle adjacente. Celle ou se faisait les livraisons, un endroit bien au calme et légèrement isolé du reste.

Pour l'appâter, il comptait sur la curiosité de l’ennemi. Jake marcha tranquillement dans la ruelle. Il s’adossa au mur, un immense grafiti l’ornait et disait “ILS SONT PARMI NOUS”. Les bruits de la ville se faisait moins présent ici. Sans devenir visible, Jake laissa sa présence transparaître. Pas entièrement bien sur. Juste de quoi faire croire à l'engeance qu’un simple missionnaire se trouvait là. Si celle ci à un minimum de fierté, elle devrait répondre à la provocation. Il ne lui resterait alors qu’à…

Mais qu’est ce qu’il fout là lui ?

Un type, la vingtaine environ, venait d’éclater son plan parfait en une fraction de seconde. Un humain avait visiblement décidé de venir, pile à ce moment là, pile dans cette ruelle. Et le vieillard devrait débarquer d’une minute à l’autre. Si Jake effacait de nouveau son aura, la créanne comprendrait que c’était un piège. Un simple missionnaires ne s’évapore pas comme lui. Et ce plan ne marcherait pas deux fois. Mais s’il continuait, le vieillard attaquerait l’humain et le prendrait pour le missionnaire en question. Jake aurait alors un humain paniqué sur les bras à sauver et devrait lui donner des explications. Mais le laisser à son sort était hors de question. L’assassin était devenu responsable de la vie de cet homme dès le moment ou il avait pénétré cette ruelle. Au pire, il pouvait toujours tenté de le faire fuir en lui jetant des petits cailloux ? L’homme chassa cette idée de sa tête rapidement. La créanne n’était pas encore là de toute manière. Avec un peu de chance, elle ne mordrait pas à l'hameçon. Il resta donc là invisible, à attendre, veillant sur l’humain. Mais il ne se faisait point d’illusions, Jake n’est pas quelqu’un de chanceux.


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Localisation : Somewheeeeeere over the rainbow !
Loisirs : Manger de la crême de Speculoos avec Blue.
Humeur : Euh... Joker ?
Artyom Rijskaya
Artyom Rijskaya
Lun 22 Déc - 10:56

- L'agitation caractéristique de l'approche des fêtes de fin d'année se faisait ressentir, et ce depuis un bon moment déjà. Guirlandes colorées, décorations lumineuses, et autres niaiseries de ce genre, recouvraient chaque arbre, chaque balcon, chaque lampadaire, pour marteler à tous les passants que Noël approchait. Les catalogues de jouets, les promotions spécialement prévues pour permettre aux gens d'acheter un cadeau à leur cousin au troisième degré sans se ruiner, les spectacles tournant autour de la venue de ce cher Père Noël... Pas une seconde de répit dès que vous vous décidiez à aller dans la rue. Et c'était pareil à l'abri entre quatre murs : les programmes télé semblaient s'être concertés pour ne plus offrir que des couleurs tournant autour du vert et du rouge, les publicités arrivaient en masse dans les boîtes aux lettres, et il était fort probable qu'en regardant par la fenêtre vous vous trouviez nez à nez avec une multitude d'ampoules lumineuses formant un chaleureux « Joyeuses fêtes ! ». Artyom aimait bien la période de Noël, vraiment. Cette agitation bien particulière n'était pas forcément énervante, il y avait cet avant-goût des fêtes qui arrivait par la même occasion. Mais trop, c'était définitivement trop. Il n'était même plus possible d'aller boire une bière sans trouver un Père Noël ridicule sur le comptoir !

Pourtant il n'avait pas le choix ; lui aussi devait passer par la case « achat de cadeaux ». Il aurait bien aimé y échapper, mais pas moyen. Alors il se retrouvait à arpenter une des rues commerçantes de la capitale suédoise, au milieu d'un nombre incalculable de passants. C'était intenable, cette foule. En général cela ne dérangeait pas l'étudiant norvégien, et d'ailleurs ce n'était pas forcément le monde qui l'exaspérait. Mais il ne pouvait même plus voir les vitrines, les queues qui s'allongeaient depuis les caisses étaient interminables, et il n'appréciait pas forcément se faire secouer de tous les côtés. Malheureusement il était obligé de continuer sa recherche désespérée d'un présent à offrir à sa mère ; au moins pour elle car avant de voir ses cousins, oncles et tantes, il aurait quelques mois de battement. C'était l'un des avantages d'étudier dans un pays étranger : il ne rentrait que rarement en Norvège, et voyait donc sa famille plus rarement encore. Pour sa mère c'était différent, elle venait parfois à Stockholm lorsque ses moyens financiers le lui permettaient, et pour Noël avait décidé de faire visiter St-Petersbourg à son fils. Il n'aurait donc pas de délai, pas de moyen de lui offrir quelque chose au mois de mai plutôt que de décembre, il serait donc peut-être temps qu'il trouve enfin quelque chose.

Seul réconfort de la journée, la neige se mit à tomber. De petits flocons, mais si purs, si blancs ! Ils formaient une mince couche sur le manteau d'Artyom, qui en observa un fondre lentement au bout de son doigt. Il avait eu une période de réelle fascination pour les flocons de neige – toujours à six pointes, mais tous différents et totalement uniques – quelques années plus tôt, et si cette soif de connaissance avait fini par lui passer, il trouvait toujours magnifique les chutes de neige.
Il faut dire que c'était plutôt une bonne chose, pour quelqu'un qui avait vécu ses dix-neuf premières années au nord de la Norvège, et qui était maintenant en Suède. La neige de manquait pas, le froid non plus, et mieux valait l'apprécier.

Il trouva dans un magasin, dont il ne retint même pas le nom, une écharpe qui serait avec un peu de chance au goût de sa mère – niveau habit il n'était pas le plus calé des hommes – et compléta ça par un lot de deux romans d'un auteur qu'elle adorait, de ça au moins il était certain. Ainsi disparut la quasi-totalité de son argent, et l'étudiant allait donc être condamné à se nourrir exclusivement de pâtes au beurre pour la semaine qui le séparait encore de son départ en Russie.
Une bonne chose de faite. Maintenant il se retrouvait sans but précis, et l'idée l'effleura d'aller étudier, éventuellement. Ses cours étaient restés à son petit appartement, mais ce n'était pas si loin, et il pourrait peut-être aller à la bibliothèque pour être tranquille. Bien trop de distraction dans son appartement, à commencer par son ordinateur et la connexion Internet qui allait avec.
Tout en sachant parfaitement qu'une fois chez lui il se contenterait d'aller traîner sur Internet plutôt que de repartir travailler, il se mit en route. Il préféra emprunter une ruelle latérale, totalement déserte, au lieu de rester sur les axes principaux bondés et où il était impossible de faire plus de trois pas sans foncer malencontreusement dans quelqu'un.

Le calme qui régnait dans la-dite ruelle était apaisant, après plus d'une heure à se frayer un passage entre les badauds pour quelques achats. Cela faisait bizarre de se retrouver d'un coup comme seul au monde – même si l'agitation qui régnait quelques mètres derrière était largement audible. Sachant qu'en arrivant à l'autre bout de la rue il allait de nouveau déboucher sur un grand axe surpeuplé, l'étudiant prenait son temps, bien que l'endroit ne soit pas le plus agréable à regarder. Des graffitis sans grand intérêt, et pas forcément très beaux non plus d'ailleurs, ornaient les murs de leur délicate présence, et une subtile odeur d'urine humaine ou canine se faisait sentir. Il continuait de neiger, et c'était plutôt sur cela que Artyom se concentrait. Mais la ruelle ne fut soudain plus si déserte, et le jeune homme se sentit stupide à marcher lentement, les yeux rivés vers le ciel. Par chance ce n'était qu'un vieillard, et pas une jolie jeune fille de son âge qui l'avait surpris avec cet air rêveur, mais tout de même. Il reprit donc un rythme de marche normal, croisant bientôt le vieillard en question qui arrivait en sens inverse. Règle de politesse oblige, il lui adressa un sourire et un petit « bonne journée », en ralentissant légèrement le pas. Il ne comptait évidemment pas s'arrêter discuter avec cet inconnu, mais ayant grandi dans un petit village, il avait pris l'habitude de saluer tous ceux qu'il croisait – et même s'il vivait dans une capitale depuis un moment maintenant, il n'avait pas totalement perdu cette manie.



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Ven 16 Jan - 11:02
On le nommait Jörn, ou parfois Jörn le Fou, dans les milieux humains. Il était une créanne, La créanne, la hantise des rues du quartier Est de Stockholm. A vrai dire personne ne connaissait l'endroit où il vivait, mais à ce qu'on disait il passait ses journées dans les endroits peuplés, puis repartait vers le nord, le soir. On ne savait où. Jörn, par-dessus tout, était rusé. On pouvait le voir souvent, avec sa vieille veste brune et son pantalon démodé depuis un siècle, affectant avec talent une marche saccadée de vieil homme. De vieil homme, il avait aussi l'apparence, depuis le temps, mais toutes ses fines ridules, qu'on entrevoyait sous une épaisse écharpe, ne parvenaient pas à dissimuler l'éclat solitaire de ses yeux, l'éclat de celui qui vit depuis toujours et qui sait comment continuer, longtemps.
Oh, il n'était tout de même pas un Ancien, non, personne n'avait voulu lui accorer ce privilège, il était bien trop laid, bien trop insignifiant. Non, il était Instable. Mais un excellent instable.
Tapi entre un dos et un sac à main, au cœur de la foule, il savait depuis toujours quand agir, et sur qui. Ses marionnettes humaines se chargeaient ensuite de subvenir à ses besoins. C'étaient des esclaves, des esclaves temporaires, une idée bien pratique pour éviter de les nourrir.
Certes, ils devenaient médiums. Certes par la suite ceux qui avaient la chance de devenir missionnaires lui vouaient une haine éternelle. Mais le délice d'habiter un esprit jeune et surtout les cartons de bière qu'ils lui apportaient en retour valaient tous les inconvénients.
Aujourd'hui, le vieil "homme" chassait dans le coin des centres commerciaux. La neige étouffait ses pas, le piétinement de la foule cachait ses empreintes et personne ne faisait attention à lui, il n'était après tout qu'une légende urbaine un peu passée de mode, rien de bien dangereux. Mais il était exigeant aussi, et avait passé longtemps à se faufiler entre les lourds manteaux à la recherche de la proie idéale. Quelqu'un de jeune, d'alerte, de discret et averti, à l'esprit léger et rêveur. Un étudiant, typiquement, mais voilà, en ces périodes de fêtes c'étaient surtout des personnes accompagnées qui déambulaient au bras l'une de l'autre, pas de proie facile, pas de type solitaire.
Il détestait les fêtes.
Alors il était sorti du flot incessant, jeté hors du flux et du reflux humain dans une petite ruelle solitaire, bien que si proche de la vague humaine. Jörn respirait à peine qu'une aura vint lui titiller les neurones, désagréable comme des ennuis en perspective. Qu'y avait-il donc ? Depuis des années il se livrait à son petit commerce avec les âmes humaines, et cela n'avait jamais dérangé personne. Alors pourquoi aujourd'hui ? Cet abruti de Lewis Steek avait-il laissé tomber son laxisme salvateur ? Impensable. Ca se trouve, il était mort.
Un minuscule clignotement laissa entrapparaître la silhouette d'un grand missionnaire; c'était l'un de ceux qui savaient se rendre invisibles, un vicieux encore. Tranquillement, faisant semblant de rien, le vieillard se leva et partit dans la direction opposée, ses sens en éveil. S'il parvenait à regagner la foule, il était sauvé.

Un jeune homme, non, LE jeune homme parfait sortit à son tour du flot humain. C'était la cible idéale, rêveur, solitaire, isolé, vulnérable à toute attaque d'ordre mental. Un étudiant certainement.
Le regard attiré comme malgré lui par sa présence, Jörn ralentit le pas au moment de le croiser. Il était parfait... Mais la présence du missionnaire, bien qu'il n'aie pas l'air d'être très puissant, le dissuada de tenter quoi que ce soit. Ou non, après tout, pourquoi ne pas le provoquer pour une fois ? Peut-être aurait-il le dessus lors d'un combat. Insidieux, le vieil homme se retourna à demi vers la silhouette mi-invisible, et lui adressa un petit sourire, lent et provocant. puis il se retourna vivement, et, feignant de trébucher, s'arrangea pour toucher la main nue du jeune homme. Ne restait plus qu'à s'élancer vers son esprit, et une marionnette rejoindrait le combat, du bon côté.
Le sien, toujours.

Jake
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Jake Hills
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Ven 16 Jan - 13:54
Et voilà, l’humain avait tout fait foiré, avec son “bonne journée”. C’était pas le moment d’être polie, bon sang. Et puis, avec son plan de se faire passer pour un simple missionnaire, Jake avait laissé la créanne s’apercevoir de sa présence. Ça n’aurait pas été un soucis, s’ils avaient été seul. D’ailleurs c’était même le but recherché. Bon, pour l’effet de surprise c’était fini. Mais il lui restait toujours un atout dans sa manche. Jörn le fou ne se doutait probablement qu’il avait face à lui le numéro deux de la Congrégation. Mais il ne devait pas le sous estimer, c’était une créanne certes instable, mais redoutable. Et ce sourire insolent qu’elle arborait pour le provoquer. C’était cette expression qui avait détourné son attention. La créanne avait touché le gamin. Bordel. Elle allait pouvoir le posséder. Le regard émeraude passa sur le jeune homme. Il semblait si innocent et bienveillant. Parviendrait il à lutter ?

En tout cas, c’était foutu, Jake n’avait plus le choix, l’étudiant allait voir sa vie bouleversée. Et dire que pour le moment il ne se doute de rien. Ou alors peut être qu’un combat dans l’esprit de l’humain s'amorçait déjà. L’émissaire savait qu’il était visible en transparence, un léger relief, il fit quelques pas sur le coté et disparu totalement. Habituellement, une légère ombre peut le trahir mais le crépuscule parait à cet inconvénient. Peut être que l’engeance se rendrait compte qu’elle n’était pas face à un missionnaire lambda. Par prudence, il n’allait pas tuer la créanne immédiatement. Si elle était en contact avec l’esprit de l’étudiant, qui sait les ravages qu’elles pourraient causer tandis qu’elle agonise ? Il devait d’abord vérifier que l’humain allait bien. C’était désormais sa priorité, le mettre en sûreté. Jake l’invisible aimait bien soigner ses entrées, après tout elles étaient rares, autant qu’elles soient mémorables.

Il s’interposa entre les deux et balança un violent coup de pied dans la cage thoracique du vieux. La créanne atterrît quelques mètres plus loin. L’émissaire dos à l’humain choisit ce moment pour réapparaître. Du haut de ses deux mètres et quelques, il faisait barrage de son corps au gamin. Il passa une main dans ses cheveux et sa voix grave s’éleva.

“ Il est sous ma protection Jorn.”

D’ailleurs, comment allait le jeune ? Jake ne pouvait se permettre de quitter des yeux l’ennemi. Mais ce serait gênant si l’humain décamper en hurlant, celà attirerait bien trop l’attention.

“Gamin, tu vas suivre mes directives s’il te plaît. Met toi à l’abri derrière la poubelle. Ne crie pas. Ne pleure pas, ne crois pas un mot de ce que dit le vieillard. Ne le laisse pas s’immiscer dans ton esprit. Il est ton ennemi, je suis ton allié.”

A vrai dire, le danger semblait plus venir de Jake que de la créanne. Un géant de deux mètres qui apparaît comme par magie devant vous après avoir violenté un retraité. Ce n’est pas forcément l'émissaire qui inspire le plus confiance. Au pire, même si cette idée le répugnait, il n’aurait qu’à assommer l’humain. Lewis allait bien se fouttre de lui. C’était la première fois qu’un médium naissait par sa faute.




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