Nabouh Saifi
Identité
Age: 17 ans
Nationalité: Palestinien
Classe: Médium
Dieu: Enlil
Pouvoir: Complémentaire
Description Physique
Yallah, comment je pourrai me décrire en toute objectivité ? Un pur beau gosse, un joli minois, des yeux charmeurs, un sourire à tomber... bref, un vrai modèle de magazine !
…
Bon d'accord alors , OBJECTIVEMENT, je suis... pas trop mal fichu. Mais genre vraiment ! J'ai le teint halé, mais pas trop non plus malgré mes origines. Je ne suis pas bâti comme un athlète mais je conserve volontiers une fine musculature, que j'entretiens avec les divers petits boulots que je fais pour entretenir ma maison. J'ai les yeux marrons clairs, comme les noisettes avec des cheveux bruns, souvent coupés courts et mal coiffés ( pas coiffés serait d'ailleurs plus juste ). Un grand sourire illumine toujours mon visage car je souris très souvent , c'est mieux que faire la tête vous avouerez ! Sinon mon visage a les traits assez marqués de mon peuple, ce qui ne me défigure absolument pas je tiens à préciser. Enfin, mon plus gros problème, c'est que je suis assez petit pour un garçon, ce qui me déplaît fortement... environ 1m70 et des poussières. Beaucoup de gens disent que je suis en-dessous de la moyenne mais moi, je préfère dire que c'est la moyenne qui se situe trop haut.
Au niveau vestimentaire, je n'ai pas de goût prédéfinis. En général, sauf à l'école et aux cérémonies traditionnelles, je porte surtout des jeans ou pantalons en toile large, même des bermudas quand il fait chaud mais j'ai horreur des shorts par contre ! Toute façon, c'est interdit, trop court !des baskets me conviennent très bien même si j'adore les converses – et oui, on met pas des babouches à tout bout de champ - et les victoria. Pour le haut, des T-shirt large ou même des sans-manches me vont parfaitement. Les chemises me vont, mais j’apprécie moins. Sûrement une question de goût !
Description Morale
Bon je suppose que vous l'aurez sans doute deviné -ou pas- mais je suis d'un naturel très taquin. J'aime beaucoup plaisanter ou me moquer des autres, mais ça reste gentil bien sûr ! Je ne me moque pas pour blesser ! Sinon c'est méchant, et je ne le suis pas vraiment. Au contraire même... mes proches me décriraient comme naïf, je préfère dire que je suis optimiste et que je n'ai aucune raison de bouder et d'avoir l'air malheur si je n'en ai pas envie. Associé à mon côté un peu... turbulent, vous pourriez penser que vous êtes tombé sur une sorte de bisounours tombé tout droit du pays des rêves ? Eh bien vous avez – raison- tort ! Si c'est vrai que j'ai des allures de sale gosse comme ça, je peux aussi être très sérieux selon les situations, même si je préfère aborder les drames avec une pointe d'humour, c'est ma manière à moi de me protéger. Eh oui, derrière toutes ces plaisanteries, se cache un gros sensible que l'on peut facilement blesser, mais ça, je ne le montrerai ni ne l'avouerai jamais.
Du coup, il y a quand même des revers à tout ça. Déjà, une incroyable curiosité, surtout concernant la vie des gens, qui, associés à mes taquineries constantes, me donne le genre... lourd ? Oui un peu. Mais encore une fois, je pense que c'est juste parce que les gens ne connaissent pas le véritable humour : celui qui ne fait rire que soi. Bon blague à part, je suis une sacrée tête en l'air aussi ou plutôt, autant carrément le dire, très maladroit. Tout est gauche chez moi, de mes jambes jusqu'à mes compliments. En effet, ma coordination pédestre frôle le désastre ( : chutes et gamelles en tout genre), mon habileté avec les mains est... peu crédible aussi. Quant aux compliments dont je parlais, c'est juste que j'ai... un peu de mal à exprimer ce que je ressens vraiment et du coup, je suis parfois très maladroit lorsque j'essaye.
Vous voyez ? Je suis fait pour être votre ami !
Histoire
Sabi saghir yassir kabir
Yaqta3ou el widyan yatfi niran...
« Petit enfant deviendra grand, il franchira les océans, éteindra les incendies... ». Ma mère me chantait souvent cette chanson quand j'étais petit pour m'endormir, paraît-il que je refusais de dormir tant qu'elle ne le faisait pas, ce qui, vu mon caractère, est fort probable !
Je suis né à Bethléem, en Palestine ,voilà déjà dix-sept ans. J'étais le troisième d'un famille qui allait compter environ sept enfants ( inutile de vous dire que l'intimité n'était pas de mise). Je crois que c'est pour ça que j'étais aussi turbulent en étant petit – et encore maintenant à vrai dire- parce que je voulais ma propre liberté, et non être enfermé dans une maison avec autant de monde. Déjà que je suis enfermé dans mon propre pays... Mais bon, ça c'est encore autre chose. En fait, mes parents avaient un peu de mal avec moi, ils ne me comprenaient pas beaucoup car, d'après eux, j'étais une enfant très rêveur. Ils pensaient que j'avais des amis imaginaires ou ce genre de choses. Je passais mon temps à fixer les gens, à regarder en l'air, j'étais peu loquace et je pleurais très souvent. Mes parents ne savaient pas quoi faire. Lorsque mes petits frères et petites sœurs arrivèrent, ils n'eurent plus tellement le temps de se préoccuper de moi. Au début, je pensais que c'était normal tout ce qui m'arrivait, mais en grandissant, lorsque je compris vraiment ce que je regardais, je me rendis compte que personne autour de moi ne me prenait au sérieux ou alors se moquait plutôt ouvertement. C'est un peu de cette manière que j'obtins, sans vraiment la chercher, cette réputation de rigolo. Pourtant, c'était tout sauf drôle. Je me contentais de poursuivre ma vie normalement, usant de la réputation de rigolo qu'on m'avait donné pour me faire une place dans la communauté. Je faisais rire les gens ( bon pas tous d'accord!) et je faisais tout mon possible pour me plonger à fond dans al vie que je menais, oubliant tous ces tracas d'enfance. Je remarquai d'ailleurs que tout ce que j'avais cru voir n'existait plus. Cela avait disparut, tout simplement. La seule réponse logique fut de me dire que les gosses voient toujours des choses étranges, ou se comportent de façon bizarre. Et tout ça m'arrangeait plutôt bien.
Je venais de finir ma dernière année de lycée, et je préparais les papiers nécessaires pour me faire transférer dans une école au Liban, dans le but d'étudier l'histoire ( de toute façon, c'était le seule matière dans laquelle j'étais à peu près doué). J'étais donc parti à Beyrouth, seul ( mes parents n'avaient pas été autorisés à partir), dans le but de chercher un petit logement pas cher, pas trop loin de l'université et de m'imprégner de ma nouvelle ville. C'est franchement beau le Liban d'ailleurs, bon moins que ma Palestine natale bien sûr, mais comme les décors ne changeaient pas trop, je n'étais pas dépaysé. Je m'étais arrêté auprès d'un vendeur ambulant pour acheter un jus de citron lorsque je sentis que quelqu'un m'agrippait le poignet.
Je me réveillais un peu plus tard, dans une ruelle peu fréquentée, assis sur le sol chaud, avec une terrible migraine qui me martelait la tête. Je clignais des yeux plusieurs fois d'affilés, tentant de retrouver une vue brouillée pour je ne sais quelle raison. Lorsque je repris vraiment conscience, je remarquai qu'un homme pesait de tout son poids sur mes jambes et me coupait à moitié la circulation. Je le repoussait doucement ( aussi parce que j'avais pas la force d'y aller franchement) et je pus voir qu'il était dans un sale état. On aurait dit qu'il s'était fait atrocement amoché par quelqu'un. C'est en m'appuyant pour me relever que je sentis une douleur me picotait les mains. Et en baissant les yeux, je remarquais de grosses cales au niveau des phalange, le peau à vif. Je ne compris pas tout de suite, j'étais encore un peu endormis, comme dans du coton, mais un cri à l'autre bout de la rue acheva mon réveil. Une femme et ses deux enfants hurlaient en me montrant du doigt, la mère criant que j'étais un assassin. Honnêtement, et j'admets que ce n'est pas très glorieux, mon premier réflexe fut de tourner la tête derrière moi, pour voir de qui elle parlait. Ne voyant personne, je revint sur elle, perplexe, lorsque je compris enfin. Bouche bée, je voulus lui dire qu'elle se trompait, qu'il était juste endormi ( même si j'en savais rien) mais les policiers me dissuadèrent d'entamer une conversation. Alors je fis la seule chose que je pouvais faire : fuir. Je courus comme je ne l'avais jamais fait, à toute allure, à perdre haleine. Je les avais semé depuis longtemps mais je ne m'arrêtais, j'avais trop peur de me retourner pour voir une main m'attraper par les épaules. Je ne m'arrêtais pour de bon que lorsque mes jambes ne purent plus me soutenir. Je m'effondrais alors au sol comme une larve, respirant à grandes bouffées bruyantes. En me redressant, je compris que j'étais sortis de la ville, et même plutôt bien. Je me trouvais dans un champ je crois, un de ceux qui entourent les grandes villes. Et pour honnête, je ne savais pas comment faire à présent. J'étais perdu, j'avais peur, j'avais chaud, j'étais épuisé... et je n'avais aucune idée de ce que je devais faire à présent.
Eh bien vous m croirez ou non, mais c'est pile à ce moment-là qu'un homme très bizarre, et c'est peu dire, se pointa. Il se présenta si vite que je ne compris même pas son nom, et il enchaîna tout de suite sur une histoire de possession, des .. rébanes ? Ou céranes, enfin un truc qui sonnait comme ça. Et pendant tout le temps qu'il parlait, je le regardais, bouche bée ( eh oui encore), sans piper mot à ce qu'il disait. Surtout, il semblait pas natif du coin. Il avait la peau trop blanche, les cheveux... trop blonds ! Alors j'avais d'autant plus de raisons de m'interroger sur sa présence. Au final, il me demanda de le suivre jusqu'à un endroit spécial. L’appellation « spécial » me fit hausser les sourcils. J'admets que la première image qui me vint était un asile de fous. Et ça me vexa d'ailleurs qu'il veuille m'y envoyer. Je n'étais peut-être pas le mec le plus intelligent du monde mais bon, faut pas non plus s'emballer ! J'allais lui répondre bien vertement mais il me coupa l'herbe sous le pied, en parlant de Stockholm. Comme j'allais parler, ma bouche resta grande ouvert, dans une tentative muette de communiquer en entendant le nom de la ville. A... a Stockholm ? Mais qu'est-ce qu'il veut que j'aille y faire ?
Eh bien croyez-le ou non à nouveau, mais je l'ai suivi . Et honnêtement, il fait genre SUPER froid !!!
Vous
Qui êtes-vous?: Quelqu'un qui aime s'amuser
Comment avez-vous découvert le forum?: Le partenariat avec Terrae
Qu'y cherchez-vous?: des gens avec qui s'amuser
Avez-vous des remarques, des questions?: Très bon boulot d'adaptation pour la mythologie sumérienne.
Code du règlement: Validés par le magnifique Ershkigal ! 8D
Lewis Steek
Renzo Layne
Ershkigal
Nanna
Ka Jehms
Chic 
)
